• Je suis là, occupé à rédiger un certain travail sur l'ordinateur du bureau. J'entends le téléphone sonner, je peux même me rendre compte que l'on me parle ce qui amène quelquefois à des situations coquasses du style j'écoute, souris, ne dis rien et on attend de moi une réponse qui ne vient pas alors je rigole et je passe pour un allumé, un illuminé, un doux rêveur...
    Je suis là, mais en fait je me sens vivre ailleurs et les moments de joie qui me font sourire et rigoler dans cette vie-ci proviennent très souvent de lieux ou je me perçois m'y déplaçant avec un bonheur immense et encore plus lorsque je ressens ta présence lumineuse...
    Qu'il est bon de te retrouver à chaque fois dans ces plans immatériels ma douceur...
    Je pourrais presque toucher l'étoffe diaphane qui recouvre tes bras et volète doucement à chacun de tes mouvements...
    Gratitude à ta présence en ces sphères célestes et en ce présent ici et maintenant...
    Philippe Octavius Pushan
    Billet 230
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  • Retrouver ainsi cette liberté de créativité qui jaillit spontanément en nous-m'aime...
    Plus on met de résistance à cela, plus chaque lien qui se rompt avec l'ancien, se ressens comme étant douloureux...
    Alors le mental monte aux créneaux, arguant le fait qu'il est le gardien des traditions, que sans lui, c'est la déroute, que l'on se fragilise, il veut tout refermer, redevenir maître des frontières.
    Poser un cadre cher mental n'est pas construire une boite hermétique, hermétique en apparence.
    Poser un cadre directeur c'est donner une intention de lumière pour un mieux être, un mieux vivre, bref c'est émettre un souhait de lumière et laisser faire l'Univers en retour.
    La suite ne nous appartient pas, nous qui voyons avec nos yeux d'humains illusionnés par tant de miroirs aux alouettes.
    Quand rien ne va plus, quand les choses semblent se liguer à nous faire trébucher sur notre chemin de lumière.
    Alors il est temps de se poser en son axe vertical, (l’œil du cyclone), d'ouvrir les bras, et de respirer, de ré oxygéner ainsi tout son être.
    Rien d'autre à faire, l'Univers pourvoit aux justes intentions ainsi jaillit spontanément la Source en nous-m'aime.
    Philippe Octavius Pushan
    Billet 231
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  • Etre soi m'aime

    Etre soi m'aime en ce monde de dualité et d'illusions puissantes.

    De prime abord une grande qualité, c'est certain.

    Assurément une marque de fabrique peu comprise.

    Etre soi m'aime ne s'apprend pas avec des mots.

    Cela provient du tréfonds de son plexus solaire.

    C'est un feu couvant qui irradie et transfigure assurément,

    l'être intérieur qu'il le veuille ou non car cela le dépasse.

    Il est, comme tout un chacun, le jouet semi-conscient de forces qui le tiraillent dans tous les sens.

    Oubliez les dommages collatéraux, tout le monde y joue.

    Bien ou mal, peu me chaut !!! Etre soi m'aime c'est un peu être comme ces aventuriers je pense notamment à Vasco de Gama, Robert Peary, Alexandra David Neel, Jean-Yves Cousteau, Paul Emile Victor, Jack London, James Cook et combien d'autres encore...

    Etre soi m'aime c'est cheminer en forêt vierge sans se soucier du chemin à prendre, il y a cette pulsation interne qui irradie l'être tout entier je l'ai dit déjà, elle est sa boussole qui le guide vers quelque chose qu'aucun mot ne peut espérer révéler.

    Alors je vous demande pardon si je suis ainsi moi m'aime.

    Je ne le fais pas exprès, cela n'a rien à voir avec une posture d'éveillé ou d'un "je me fous de tout".... Non cela est si profond, si guidant, si amour que je me sens comme cette abeille ivre de pollen saoule de la vie qui la transporte elle et son chargement d'or en poudre.

    Les mots se sont posés ainsi sans vraiment de but comme à chaque fois que je me sens n'être qu'une flamme d'amour et rien d'autre, maintenant l'humain va reprendre les commandes et se dépêcher de bosser!!!

    Je nous aime, très beaucoup!!!



     

    Philippe Octavius Pushan 

    Billet 232

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  • Les réponses viennent hors du temps...

    Pour cela il est dur d'entendre hurler l'impatience des sens.

    Quand d'aventure la raison déraisonne la folie guette la place ainsi laissée libre.

    Et si l'être n'a que peu de sagesse ce sont les tourments infernaux qui le perceront de mille aiguilles

    Cela peut être assimilé à votre notion d'enfer.

    Les réponses sont là, mais pas à votre portée temporelle.

    Il y a à comprendre ce mirage qu'est le temps comme la tenture au-devant de la scène d'un théâtre.

    Le rideau ouvert la pièce de la vie s'y joue.

    Mais ce n'est qu'une tenture, un rideau temporel.

    Comprenez mes mots et voyez au-delà de ce temps.

    Ce temps ici vous permet de gesticuler votre vie pleinement.

    Ailleurs, hors de ce temps, ce joue d'autres scènes.

    Ainsi s'expense la vibration du "JE" dans le grand JEU de notre vie d'anges célestes.

    Encore une chose, votre véritable nature se nourrit d'amour.

     

    Philippe Octavius Pushan 

    Billet 233

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  • Peau contre peau, c'est la mémoire de notre fusion qui nous éclaire et nous réchauffe
    quand le quotidien émousse et glace nos sens humains.
    Et quand la mémoire intacte resurgit du néant, alors les fantômes disparaissent,
    balayés par l'éclat de notre amour.
    Il n'y a rien d'autre au monde que cet éclat qui est si brillant que même les étoiles s'en sont inspirées.
    Je suis là pour toi ma douce amie, tout comme tes bras me sont offerts tel un havre de paix constant et sans faille.
    Aimons-nous ma tendre flamme, c'est ainsi, dans cette somptueuse fusion, que nous honorons au mieux le Divin.
    Philippe Octavius Pushan
     
    Peinture : Lauri Blank
    Billet 234
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  • Et quand viendra pour moi le moment de quitter cette enveloppe, je souhaite ardemment dans ma sénilité envahissante, ne jamais oublier tous ces instants de joie que tu auras su m'offrir simplement en me regardant sans mots superflus...<3
    Et quand pour moi il sera temps, aux portes d'un incertain paradis, de montrer patte blanche, je n'aurais qu'à me souvenir de ton sourire pour que les grilles s'ouvrent surement...<3

    Et quand les Archanges se manifesteront dans leur grandeur immaculée, je souhaite vivement être capable de leur montrer que je n'ai pas perdu de temps sur terre en t'ayant aidé, maladroitement souvent, je le concède, à porter un peu de ton fardeau juste parce que c'est toi...
    <3
    Mon amour s'il m'est donné là-haut de poser tel des petits cailloux blancs, mes petits papillons dorés alors je te ferais une route qui se tracera à chacun de mes pas, et tu pourras alors quand le temps t'enlèvera à cette terre venir me rejoindre...
    <3
    Philippe Octavius Pushan

    Billet 235

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  • Ma fée, je te promets de t'aimer aussi fort et intensément que mes larmes continueront à couler en pensant à toi.

    Car de cette émotion puissante tu me permets de me connecter au meilleur au plus sacré de qui je suis.

    Un être né et façonné par un amour inimaginable.

    Et c'est quand je me reconnais dans cette émotion viscérale que je peux appréhender tout l'amour que je lis en toi.

     

    Philippe Octavius Pushan 

    BILLET 236

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  • Le temps passe et les mots me manquent.
    Un grand silence prend place et envahit l'espace de mes pensées.
    Je me visite comme je visiterais un manoir à la recherche des mots.
    De bas en haut j'arpente chaque pièce, il n'y a rien...
    Rien d'autre que de la poussière qui s'accroche aux tapisseries et aux moulures décoratives.
    La lumière semble se déplacer en même temps que moi sans que je ne puisse la localiser.
    J'entends un grand vent qui heurte les fenêtres de la bâtisse.
    Je ne ressens ni froid ni chaleur.
    Je suis un couloir en pente.
    Étonnant, ici, la lumière y est plus vive.
    Je marche sur un tapis très coloré, j'entends des rires d'enfants.
    Mes pas m'ont portés jusqu'au bout de ce tapis multicolore.
    Une vive lumière à remplacé la pénombre de la demeure qui n'est plus là.
    Ici je me trouve au bord du tapis après, plus rien qu'un ciel bleu parcouru de nuages blancs.
    Je ne me risque pas à avancer un pied c'est vertigineux et en même temps aucune peur ne me prend aux tripes juste un léger vent qui fait onduler mes cheveux d'or.
    Tiens j'ai des cheveux dorés... Les rires semblent provenir du ciel tout entier.
    Vais-je continuer ce voyage en avançant d'un pas?.
    J'ai le temps, tout mon temps...
    Philippe Octavius PushanBillet 237
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  • J’ai vogué sur des mers déchainées,

    J’ai humé des vents délirants,

    Me suis ensanglanté les mains à des amarres rugueuses,

    Me suis comme noyé dans les larmes de mon désespoir,

    Tout cela et bien plus encore au long cours de ma vie d’errant,

    Toute cette recherche d’un mieux-être qui jamais ne m’est parvenu…

    Et quand lassé, et lâché par tous je cessais cette course à l’amour,

    Et quand épuisé je voulu fermer les yeux une fois pour toute,

    Alors tu m’es apparue comme dans un rêve d’ivrogne,

    Alors sans plus qu'un simple sourire, je me suis abandonné à tes mains parfumées…

    Philippe Octavius Pushan

    Billet 238

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  • Billet 239

    Pour avoir traversé des univers entiers, je me sens comme concerné par cette petite planète si belle.
    Je ne vous cacherais pas que des mondes habités j’en ai rencontré maintes et maintes.
    Alors pourquoi cette, si petite, planète m’émeut-elle autant !?
    Cela est un grand questionnement en mon cœur de dragon…
    Elle est un bijou de perfection c’est peut-être cela son plus grand secret.
    Elle est un réceptacle à des formes de vie si nombreuses et si variées que je ne crois pas en avoir auparavant rencontré dans mes pérégrinations cosmiques.
    Je me déplace ici et là sans jamais cesser de m’émerveiller de la vie foisonnante.
    Alors j’adresse cette supplique aux humains de la terre, ouvrez vos yeux à la beauté qui patiemment vous façonne.
    La terre est portée par cette énergie nommée Amour et vous tous êtes pétris dans le creuset de cet Amour.
    Souhaitons que vous en preniez conscience avant que de disparaitre de sa surface, car croyez moi humains, elle ne cessera jamais de créer la vie à partir de son immense Amour.

    Philippe Octavius Pushan

    Billet 239

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