• Comprenons que tout est éphémère, ne durant que le temps nécessaire pour expérimenter, apprendre sa leçon, rien, rien n'est pérenne en cet espace de réflexion.

    Ressentez l'espace de silence qui s'installe maintenant.

    Je vous guide un peu, regardons ensemble cet état de paix.

    Oui je suis dans cet état, pas vous? Et ce visage structuré comme étant un modèle de beauté parfait éveille en moi ce sentiment de paix, un état qui surnage sur la mer des illusions et des expériences que nous traversons en ces vies chahutées.

    L'espace de réflexion se referme. Pour l'instant.

     

    Philippe Octavius Pushan 

    Billet 133

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  • Qui a dit qu'il fallait être premier (première) en toutes choses. ?

    Qui court plus vite que les autres?

    Qui n'en peut plus et souhaite s'arrêter mais tient coûte que coûte?

    La compétition c'est bon. Qui a dit cela? C'est Toi? C'est Moi ?

    Va dire à la rose de faire la compétition.

    Et reviens vite me donner sa réponse, oui reviens très vite !

    Pendant ce temps-là, je la regarderais s'ouvrir à la vie.

    Au premier chuchotement du vent je te narrerais sa naissance.

    Je te raconterais le doux frémissement des pétales se déployant.

    Aux premiers rayons de soleil la fragrance de son parfum.

    Alors cours vite et reviens vite, car la vie est là qui se déroule.

    Et moi j'aimerais partager cela avec toi, toi qui cours après ta vie.

     

     

    Philippe Octavius Pushan 

    Billet 134

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  • De la futilité de ce monde naît mon incompréhension.

    J'avance sans rien comprendre au scénario en place.

    Je pense faire des entrechats comiques.

    Et me voilà jouant merveilleusement bien mon rôle.

    J'ai beau tenter de contre carrer les plans établis.

    Je me rends compte que ceux-ci s'écrivent avec le sablier du Temps,

    Un Temps, chef d'orchestre qui me tient acteur sur cette estrade.

    C'est le jeu de la vie me souffle ma petite voix.

    C'est le jeu de ta vie, me susurre ma petite voix.

    M'ouais, je veux comprendre et m'enfonce dans le sable du sablier,

    Comme pris dans des sables mouvants, je cesse tout mouvement,

    ainsi je surnage sur cette mer temporelle, sans risque aucun.

    Cela s'apparente à un vrai lâcher-prise cérébral.

    De ma légèreté d'être dépend ma compréhension de ce monde.

    Aucun effort n'est requis, juste déclamer mon texte lyrique.

    Y prendre plaisir pleinement et ne pas oublier de saluer à la fin.

    N'applaudissez pas!!!

    Enfin... Pas encore....

    Je nous aime...

     

    Philippe Octavius Pushan 

    Billet 135

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  • Le luxe n'est pas de prendre un café, une tisane dans une tasse dorée finement ouvragée.

    Le luxe ne se trouve pas dans le maniement de la petite cuillère qui lentement suit le geste doux et attentionné de votre main.

    Le luxe ne réside pas dans le siège confortable, enlaçant dans lequel vous vous êtes installés.

    Le luxe n'est pas non plus dans les discrets tintements de la porcelaine et de l'argenterie des couverts qui semblent s'excuser de venir ainsi jusqu'à vos oreilles.

    Le luxe est ailleurs, tout autour de cela, dans l'espace dans lequel vous évoluez, ici, maintenant alors que vous lisez ces lignes.

    Le luxe c'est de vous laisser aller à ne rien faire d'autre que d'être vous-m’ aime.

    Le luxe est ce moment court, éphémère, que vous ne cesserez plus jamais de tenter de reproduire car là est votre vraie nature.

    Je nous aime.

     

    Philippe Octavius Pushan 

    Billet 136

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  • Etre doux et aimant envers soi m'aime.
    Peut-être bien, est-ce la le premier pas à faire.
    Avant que de cesser de vouloir tout mettre aux fers. 

     

    Philippe Octavius Pushan

    Billet 137

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  • Soyez la béatitude aimante.


    Philippe Octavius Pushan

    Billet 138

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  • Mon cœur est façonné de vos larmes.
    Mon cœur desséché par le vent de la peur.
    A trouvé en vos larmes le lit d'une rivière.
    Et depuis lors il s'y abreuve sans peur.
    Philippe Octavius Pushan

    Billet 139

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  • Prenez le temps d'aimer et d'honorer votre corps.
    Sans lui pas d'expérimentation de la vie ici sur Terre.
    Votre corps est temple pour l'être de lumière que vous êtes.
    Respectez le, honorez le, cela est amour divin.
    Philippe Octavius Pushan

    Billet 140

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  • Il me semble qu'en posant mon regard intérieur sur le monde extérieur

    je puis embrasser une conscience aussi vaste que le Cosmos...

    Philippe Octavius Pushan

    Billet 141

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  • Qui suis-je?
    Telle est la question qui se présente à moi ce matin.?
    L'expérience de n'être rien de ce que mon mental me propose s'impose en moi ce matin.
    J'ai pourtant un soupçon de réponse lorsque mes pensées se dirigent vers ma respiration.
    J'ai l'image d'un voilier fendant les flots, poussé par le vent malin.
    Je ne suis ni le voilier, ni le vent et pourtant je ressens la pression de l'eau sur la coque du bateau,
    la vibration du vent dans les drisses.
    Qui suis-je? tel-est le Koan de ce matin malin.
    Je ressens, je perçois, mais même ces états-là ne sont pas moi.
    Oui j'approche, mais ce n'est pas très explicable cela semble être comme une plume en suspension
    entre un inspir et un expir.
    Qui suis-je?
    Un songe, une rêverie peut-être...
    Non c'est encore autre-chose, j'ai l'image de gamins qui se marrent d'un bon tour joué...
    Expir, inspir.... Rien de plus...
    Je nous aime...
     
     
    Philippe Octavius Pushan
    Billet 142
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