• Lettre 61 / MORT & RENAISSANCE...

    MORT & RENAISSANCE...

     

     

    Les tribulations d'un éveillé N°61

     

    Chères Lumières,

    J'ai eu envie de commencer cette nouvelle lettre par une réflexion, que je vous livre ci-après :

    "...La mort n'est pas la plus grande perte que nous subissons au cours de notre vie.
    La plus grande perte, c'est ce qui meurt en nous pendant que nous vivons ..."

    Tupac Shakur

    Tout d'abord j'ai cru qu'il s'agissait d'un vénérable moine tibétain qui était à l'origine de cette phrase....

     

    En démarrant cette lettre ma guidance me poussa à aller sur la toile m'y renseigner....

     

    Tupac Amaru Shakur, connu sous les noms de scène de 2Pac et Makaveli, né le 16 juin 1971 à New York et mort assassiné le 13 septembre 1996 à Las Vegas, est un rappeur, activiste, poète et acteur américain.

     

    Cet homme est né à New York de parents ex-Black Panthers, élevé au jazz et au théâtre (fan de Shakespeare ), il se met très vite au rap et sort son premier album en 1991.

    En 25 ans d'existence il connu : la prison, la drogue, la vie des clans, il survécu à une fusillade en 1994 pour finir abattu deux ans plus tard...

    Durant sa courte vie Tupac eu le temps de vendre plus de 75 millions d'albums.....

    Je comprend mieux la puissance de sa phrase....Le concernant je n'en dirais pas plus.... Il a vécu sa vie comme une étoile filante...

     

    Il m'est venu que ce qui est la plus grande perte n'est pas la mort forcément mais plus le fait de ne pas mourir car cela nous retire la possibilité d'une renaissance, nous devenons des morts-vivants incapables de ressentir la vie s'écouler en nous tout juste des machines reproduisant les mêmes gestes....

     

    Pour moi, la vie ce n'est plus cela, la vie c'est accepter mille morts pour être mille fois plus vivant.... Et grandir, grandir sans cesse à l'intérieur de moi-même....Cela est enivrant...

     

    L'acte tel que je le ressens est mourir à soi. C'est crever ma bulle de confort et m'exposer aux vents changeants.... Ici il n'est pas question de faire un quelconque tri.... de laisser mourir en moi la haine, la jalousie la laideur les mensonges etc... et de garder la joie, l'amour ainsi je deviendrais un être humain parfait. Cela ne se déroule pas ainsi.

    Le jeu duel devient prenant dès lors que nous comprenons que nous sommes la somme de tous nos contraires... Il n'y a rien à soustraire, ni à ajouter...

     

    Fait à l'image du divin nous sommes parfait... (Je pourrais approfondir cette notion d'image...)


    Une sœur de Lumière me dit récemment :

    «...Il faut accepter de mourir pour sans cesse renaître à soi-même, sinon le Renouveau ne peut pas arriver dans notre Vie...»

     

    je ne connais pas de mental prêt à souscrire à une telle assertion de sa propre volonté... C'est certainement ce qui fait que ces morts renaissances surviennent alors que nous pensons souvent que tout est okay ou bien que tout va au plus mal....

    Je ne connais pas deux expériences identiques. Dans certains cas il faudra passer par une presque mort physique pour se mettre à nu. Dans d'autres cas ce seront les certitudes, piliers de notre maison intérieure qui se mettront à vaciller soudainement pour s'écrouler d'un coup, anéantissant nos repères. Pour d'autres totalement connectés à des maîtres ou des visions directives le bouton passera sur OFF coupant tout source d'information. Okay on prend un exemple simple : pendant 10-15 minutes stoppez votre téléphone, votre ordinateur, votre poste de radio, votre téléviseur, votre tablette.... Non, non ne méditez pas! allez et vaquez à vos occupations comme si de rien n'était...

     

    La plupart passeront ce temps à chercher des repères, leur mental s'affolera, essayera peut-être bien de reconstruire avec les bouts cassés le cadre directionnel, protecteur...

    Le conditionnement voilà ce qui stratifie notre humain, sous couvert de le protéger, le mental moule autour de l'humain une gangue de boue protectrice, il pose un cadenas...

    Mais pour le protéger de quoi???

    En y réfléchissant un peu je me rends compte que celui qui a le plus à perdre la dedans est ce fichu mental qui fait tout pour nous «protéger», on dirait une ceinture de sécurité!...

    En fait il ne doit son existence qu'à cette enveloppe de chair, sans cela il n'a pas d'existence propre...

    Pour ma part je préfère faire ami-ami, lui rappelant qu'il est indispensable à ma survie, mais pas plus...

     

    Assurément le cycle de la «mort renaissance», ingrédient de la création en cet univers, n'est pas forcément à vivre au travers de grands déchirements internes qui nous pousseraient aux portes de l'aliénation mentale... Pour ma part après avoir traversé une petite mort oh combien déchirante tant dans mon esprit que dans ma chair il y a quelques années, aujourd'hui ce que je traverse ressemble à un tour de manège.... Demain il en sera autrement, peut-être, mais en cet instant les ré-encodages énergétiques se posent en profondeur et en souplesse.

    Je n'ai plus de questionnement sur ce que les autres vont penser de moi, sur mes proches... C'est mon cœur, dans sa divine présence qui n'a pas de prix, qui me guide...

     

    Sur ce chemin éveillé ou réveillé que j'arpente, il m'est donné de regarder chacun, chacune narrer ces peurs, ces angoisses sur la nature des changements en cours et j'entends des choses terribles comme :

     

    «Comment faire la différence pour ; se respecter sans passer pour un être égoïste...?»

     

    «Comment renaître à soi-même en ayant l'impression de peut-être laisser des gens qu'on aime derrière, une sorte de trahison envers eux...?»

     

    «Si je pense ainsi à moi j'éprouve de la culpabilité...»

     

    Tout est là en fait, tout est là sous nos yeux afin que ces questionnements sans fin trouvent au travers de l'épreuve du moment «mort renaissance» une juste réponse comme un apaisement. Tellement de fois lorsque ces questions ont effleuré vos esprits vous vous êtes empressés de les chasser au travers d'une occupation prenante.... Trop de fois même pétris de bonne volonté au travers d'un stage de travail sur soi vous vous êtes approchés de ces questions, fantômes de vos nuits, tourments de vos lendemains sombres mais face à ce que cela remuait en vous et alors que votre mental tirait la sonnette d'alarme «attention tu vas te faire du mal, laisse tomber, tiens prend plutôt une cigarette ou une pâtisserie...»,

    «Bon okay alors raconte encore une fois ce truc déjà servit à d'autres là on connait et on maitrise».

     

    Vous avez tournez le dos... J'ai tourné les talons.

     

    Qui parmi nous n'a pas eu à vivre ce genre de situation????

     

    Et puis voilà qu'il y a cette petite voix qui pousse quelque part en vous et semble résister à tout ce que le mental vous déverse à l'oreille... Cette petite voix est étonnamment douce et aimante alors que vous êtes comme vacillant sur vos bases cette petite voix vous souffle des trucs souvent dingues qui vont à l'encontre de ce que la raison vous dicte de faire...

     

    Et là vous entrez dans une guerre déraisonnable entre vous et vous-même. Vous ruez dans les brancards tout devient insupportable dénué d'intérêt ou vous devenez amorphes, incapables de même vous lever et de vaquer à vos occupations de zombi...

    Rien n'y personne ne semble pouvoir vous aider, et cette petite voix qui vous souffle tout le temps le même mot «...lâche – lâche tout...»

     

    Encore une fois chaque expérience est personnelle et je ne me permettrais pas de m'ériger en docte- savant, certainement pas! J'écoute juste mon cœur et pour que cela parle à chacun j'ai choisis un extrait d'une conférence donnée par Christiane Singer, via un téléphone juste avant son départ définitif...

    «...J’ai toujours partagé tout ce que je vivais ; toute mon œuvre, toute mon écriture était un partage de mon expérience de vie. Faire de la vie un haut lieu d’expérimentation. Si le secret existe, le privé lui n’a jamais existé ; c'est une invention contemporaine pour échapper à la responsabilité, à la conscience que chaque geste nous engage. Alors ce dont je veux vous parler c’est tout simplement de ce que je viens de vivre. Ma dernière aventure. Deux mois d’une vertigineuse et assez déchirante descente et traversée. Avec surtout le mystère de la souffrance. J’ai encore beaucoup de peine à en parler de sang froid. Je veux seulement l’évoquer. Parce que c’est cette souffrance qui m’a abrasée, qui m’a rabotée jusqu’à la transparence. Calcinée jusqu’à la dernière cellule. Et c’est peut-être grâce à cela que j’ai été jetée pour finir dans l’inconcevable. Il y a eu une nuit surtout où j’ai dérivé dans un espace inconnu. Ce qui est bouleversant c’est que quand tout est détruit, quand il n’y a plus rien, mais vraiment plus rien, il n’y a pas la mort et le vide comme on le croirait, pas du tout. Je vous le jure. Quand il n’y a plus rien, il n’y a que l’Amour. Il n’y a plus que l’Amour. Tous les barrages craquent. C’est la noyade, c’est l’immersion. L’amour n’est pas un sentiment. C'est la substance même de la création. Et c’est pour en témoigner finalement que j’en sors parce qu’il faut sortir pour en parler. Comme le nageur qui émerge de l’océan et ruisselle encore de cette eau !..»

    Christiane SINGER
    04/04/07

     

    Voilà le travail du moment qui se pose, je nous aime on est parfait...!!!!

     

    A bientôt,

     

    Philippe (Octavius-Octavia)

    Je remercie ma guidance d'éclairer avec autant d'amour ma route de pèlerin....

     

     

    Les tribulations d'un éveillé N°61

     

    Chères Lumières,

    J'ai eu envie de commencer cette nouvelle lettre par une réflexion, que je vous livre ci-après :

    "...La mort n'est pas la plus grande perte que nous subissons au cours de notre vie.
    La plus grande perte, c'est ce qui meurt en nous pendant que nous vivons ..."

    Tupac Shakur

    Tout d'abord j'ai cru qu'il s'agissait d'un vénérable moine tibétain qui était à l'origine de cette phrase....

     

    En démarrant cette lettre ma guidance me poussa à aller sur la toile m'y renseigner....

     

    Tupac Amaru Shakur, connu sous les noms de scène de 2Pac et Makaveli, né le 16 juin 1971 à New York et mort assassiné le 13 septembre 1996 à Las Vegas, est un rappeur, activiste, poète et acteur américain.

     

    Cet homme est né à New York de parents ex-Black Panthers, élevé au jazz et au théâtre (fan de Shakespeare ), il se met très vite au rap et sort son premier album en 1991.

    En 25 ans d'existence il connu : la prison, la drogue, la vie des clans, il survécu à une fusillade en 1994 pour finir abattu deux ans plus tard...

    Durant sa courte vie Tupac eu le temps de vendre plus de 75 millions d'albums.....

    Je comprend mieux la puissance de sa phrase....Le concernant je n'en dirais pas plus.... Il a vécu sa vie comme une étoile filante...

     

    Il m'est venu que ce qui est la plus grande perte n'est pas la mort forcément mais plus le fait de ne pas mourir car cela nous retire la possibilité d'une renaissance, nous devenons des morts-vivants incapables de ressentir la vie s'écouler en nous tout juste des machines reproduisant les mêmes gestes....

     

    Pour moi, la vie ce n'est plus cela, la vie c'est accepter mille morts pour être mille fois plus vivant.... Et grandir, grandir sans cesse à l'intérieur de moi-même....Cela est enivrant...

     

    L'acte tel que je le ressens est mourir à soi. C'est crever ma bulle de confort et m'exposer aux vents changeants.... Ici il n'est pas question de faire un quelconque tri.... de laisser mourir en moi la haine, la jalousie la laideur les mensonges etc... et de garder la joie, l'amour ainsi je deviendrais un être humain parfait. Cela ne se déroule pas ainsi.

    Le jeu duel devient prenant dès lors que nous comprenons que nous sommes la somme de tous nos contraires... Il n'y a rien à soustraire, ni à ajouter...

     

    Fait à l'image du divin nous sommes parfait... (Je pourrais approfondir cette notion d'image...)


    Une sœur de Lumière me dit récemment :

    «...Il faut accepter de mourir pour sans cesse renaître à soi-même, sinon le Renouveau ne peut pas arriver dans notre Vie...»

     

    je ne connais pas de mental prêt à souscrire à une telle assertion de sa propre volonté... C'est certainement ce qui fait que ces morts renaissances surviennent alors que nous pensons souvent que tout est okay ou bien que tout va au plus mal....

    Je ne connais pas deux expériences identiques. Dans certains cas il faudra passer par une presque mort physique pour se mettre à nu. Dans d'autres cas ce seront les certitudes, piliers de notre maison intérieure qui se mettront à vaciller soudainement pour s'écrouler d'un coup, anéantissant nos repères. Pour d'autres totalement connectés à des maîtres ou des visions directives le bouton passera sur OFF coupant tout source d'information. Okay on prend un exemple simple : pendant 10-15 minutes stoppez votre téléphone, votre ordinateur, votre poste de radio, votre téléviseur, votre tablette.... Non, non ne méditez pas! allez et vaquez à vos occupations comme si de rien n'était...

     

    La plupart passeront ce temps à chercher des repères, leur mental s'affolera, essayera peut-être bien de reconstruire avec les bouts cassés le cadre directionnel, protecteur...

    Le conditionnement voilà ce qui stratifie notre humain, sous couvert de le protéger, le mental moule autour de l'humain une gangue de boue protectrice, il pose un cadenas...

    Mais pour le protéger de quoi???

    En y réfléchissant un peu je me rends compte que celui qui a le plus à perdre la dedans est ce fichu mental qui fait tout pour nous «protéger», on dirait une ceinture de sécurité!...

    En fait il ne doit son existence qu'à cette enveloppe de chair, sans cela il n'a pas d'existence propre...

    Pour ma part je préfère faire ami-ami, lui rappelant qu'il est indispensable à ma survie, mais pas plus...

     

    Assurément le cycle de la «mort renaissance», ingrédient de la création en cet univers, n'est pas forcément à vivre au travers de grands déchirements internes qui nous pousseraient aux portes de l'aliénation mentale... Pour ma part après avoir traversé une petite mort oh combien déchirante tant dans mon esprit que dans ma chair il y a quelques années, aujourd'hui ce que je traverse ressemble à un tour de manège.... Demain il en sera autrement, peut-être, mais en cet instant les ré-encodages énergétiques se posent en profondeur et en souplesse.

    Je n'ai plus de questionnement sur ce que les autres vont penser de moi, sur mes proches... C'est mon cœur, dans sa divine présence qui n'a pas de prix, qui me guide...

     

    Sur ce chemin éveillé ou réveillé que j'arpente, il m'est donné de regarder chacun, chacune narrer ces peurs, ces angoisses sur la nature des changements en cours et j'entends des choses terribles comme :

     

    «Comment faire la différence pour ; se respecter sans passer pour un être égoïste...?»

     

    «Comment renaître à soi-même en ayant l'impression de peut-être laisser des gens qu'on aime derrière, une sorte de trahison envers eux...?»

     

    «Si je pense ainsi à moi j'éprouve de la culpabilité...»

     

    Tout est là en fait, tout est là sous nos yeux afin que ces questionnements sans fin trouvent au travers de l'épreuve du moment «mort renaissance» une juste réponse comme un apaisement. Tellement de fois lorsque ces questions ont effleuré vos esprits vous vous êtes empressés de les chasser au travers d'une occupation prenante.... Trop de fois même pétris de bonne volonté au travers d'un stage de travail sur soi vous vous êtes approchés de ces questions, fantômes de vos nuits, tourments de vos lendemains sombres mais face à ce que cela remuait en vous et alors que votre mental tirait la sonnette d'alarme «attention tu vas te faire du mal, laisse tomber, tiens prend plutôt une cigarette ou une pâtisserie...»,

    «Bon okay alors raconte encore une fois ce truc déjà servit à d'autres là on connait et on maitrise».

     

    Vous avez tournez le dos... J'ai tourné les talons.

     

    Qui parmi nous n'a pas eu à vivre ce genre de situation????

     

    Et puis voilà qu'il y a cette petite voix qui pousse quelque part en vous et semble résister à tout ce que le mental vous déverse à l'oreille... Cette petite voix est étonnamment douce et aimante alors que vous êtes comme vacillant sur vos bases cette petite voix vous souffle des trucs souvent dingues qui vont à l'encontre de ce que la raison vous dicte de faire...

     

    Et là vous entrez dans une guerre déraisonnable entre vous et vous-même. Vous ruez dans les brancards tout devient insupportable dénué d'intérêt ou vous devenez amorphes, incapables de même vous lever et de vaquer à vos occupations de zombi...

    Rien n'y personne ne semble pouvoir vous aider, et cette petite voix qui vous souffle tout le temps le même mot «...lâche – lâche tout...»

     

    Encore une fois chaque expérience est personnelle et je ne me permettrais pas de m'ériger en docte- savant, certainement pas! J'écoute juste mon cœur et pour que cela parle à chacun j'ai choisis un extrait d'une conférence donnée par Christiane Singer, via un téléphone juste avant son départ définitif...

    «...J’ai toujours partagé tout ce que je vivais ; toute mon œuvre, toute mon écriture était un partage de mon expérience de vie. Faire de la vie un haut lieu d’expérimentation. Si le secret existe, le privé lui n’a jamais existé ; c'est une invention contemporaine pour échapper à la responsabilité, à la conscience que chaque geste nous engage. Alors ce dont je veux vous parler c’est tout simplement de ce que je viens de vivre. Ma dernière aventure. Deux mois d’une vertigineuse et assez déchirante descente et traversée. Avec surtout le mystère de la souffrance. J’ai encore beaucoup de peine à en parler de sang froid. Je veux seulement l’évoquer. Parce que c’est cette souffrance qui m’a abrasée, qui m’a rabotée jusqu’à la transparence. Calcinée jusqu’à la dernière cellule. Et c’est peut-être grâce à cela que j’ai été jetée pour finir dans l’inconcevable. Il y a eu une nuit surtout où j’ai dérivé dans un espace inconnu. Ce qui est bouleversant c’est que quand tout est détruit, quand il n’y a plus rien, mais vraiment plus rien, il n’y a pas la mort et le vide comme on le croirait, pas du tout. Je vous le jure. Quand il n’y a plus rien, il n’y a que l’Amour. Il n’y a plus que l’Amour. Tous les barrages craquent. C’est la noyade, c’est l’immersion. L’amour n’est pas un sentiment. C'est la substance même de la création. Et c’est pour en témoigner finalement que j’en sors parce qu’il faut sortir pour en parler. Comme le nageur qui émerge de l’océan et ruisselle encore de cette eau !..»

    Christiane SINGER
    04/04/07

     

    Voilà le travail du moment qui se pose, je nous aime on est parfait...!!!!

     

    A bientôt,

     

    Philippe (Octavius-Octavia)

    Je remercie ma guidance d'éclairer avec autant d'amour ma route de pèlerin....

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