• Ma fée, je te promets de t'aimer aussi fort et intensément que mes larmes continueront à couler en pensant à toi.

    Car de cette émotion puissante tu me permets de me connecter au meilleur au plus sacré de qui je suis.

    Un être né et façonné par un amour inimaginable.

    Et c'est quand je me reconnais dans cette émotion viscérale que je peux appréhender tout l'amour que je lis en toi.

     

    Philippe Octavius Pushan 

    BILLET 236

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  • Le temps passe et les mots me manquent.
    Un grand silence prend place et envahit l'espace de mes pensées.
    Je me visite comme je visiterais un manoir à la recherche des mots.
    De bas en haut j'arpente chaque pièce, il n'y a rien...
    Rien d'autre que de la poussière qui s'accroche aux tapisseries et aux moulures décoratives.
    La lumière semble se déplacer en même temps que moi sans que je ne puisse la localiser.
    J'entends un grand vent qui heurte les fenêtres de la bâtisse.
    Je ne ressens ni froid ni chaleur.
    Je suis un couloir en pente.
    Étonnant, ici, la lumière y est plus vive.
    Je marche sur un tapis très coloré, j'entends des rires d'enfants.
    Mes pas m'ont portés jusqu'au bout de ce tapis multicolore.
    Une vive lumière à remplacé la pénombre de la demeure qui n'est plus là.
    Ici je me trouve au bord du tapis après, plus rien qu'un ciel bleu parcouru de nuages blancs.
    Je ne me risque pas à avancer un pied c'est vertigineux et en même temps aucune peur ne me prend aux tripes juste un léger vent qui fait onduler mes cheveux d'or.
    Tiens j'ai des cheveux dorés... Les rires semblent provenir du ciel tout entier.
    Vais-je continuer ce voyage en avançant d'un pas?.
    J'ai le temps, tout mon temps...
    Philippe Octavius PushanBillet 237
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